jeudi, décembre 24, 2009

Joyeux Noël, Emilie !

[Emilie V. est une jeune juriste qui travaille au MRAX depuis août 2009. Lors de la dernière assemblée générale extraordinaire, elle a eu le courage de prendre les trois minutes qui lui ont été concédées pour dénoncer d'importants disfonctionnements (c'est un euphémisme), par exemple l’engagement financier important décidé dans l’optique assumée de « blanchir le Président » (citant ici un courrier de France Blanmailland, administratrice démissionnaire.) La veille de Noël, période propice aux licenciements qui ne font pas trop de bruit, Emilie V. a donc reçu son C4, sans un mot d’explication.]



Bruxelles, 23 décembre 2009

Virée... pour avoir osé protester ! La vérité dérange, et le MRAX dérape...

En cette période de fêtes, je reçois un recommandé daté du 17 décembre. Petite phrase lacunaire : « Le Conseil d’Administration du MRAX, ton employeur, te notifie par la présente sa décision de ne pas poursuivre davantage ta période d’essai. Par conséquent, le CA met fin à nos relations contractuelles moyennant un délai de préavis de sept jours calendriers (…) ».

Aucune évaluation n’a eu lieu.

Aucune explication préalable.

Aucun entretien, aucun avertissement.

Seul retour sur mon travail, ce sont les flatteries de Radouane à mon sujet lors du CA du 8 octobre, auquel j’assistais. Puis, plus rien.

Ayant travaillé et étant volontaire dans d’autres asbl, je réalise que cette façon de procéder est aberrante. Même en période d’essai, il est normal pour l’employeur d’au moins prévenir l’employé des raisons de son licenciement.

Au MRAX par contre, plus rien ne tient debout, plus rien ne se fait de façon rationnelle. Ce qui compte (et on me l’avait précisé lors de mon entretien d’embauche), c’est la LOYAUTE ENVERS LE CA. Ce n’est pas le fait que j’ai porté, dès mon arrivée en août, le bureau des plaintes à bout de bras, seule, mon collègue juriste étant malade.

Je suis arrivée au MRAX pleine de bonne volonté, sans connaître le conflit, sans connaître les membres du CA ni les permanents. J’ai essayé de ne pas me positionner dans le conflit.

Mais les faits seront rapidement très convaincants :

En septembre : Mon collègue Mahiedine revient de son congé de maladie. Par curiosité, je lui demande où en est le dossier du profilage ethnique à Schumann,(incidents de janvier). Il me dit qu’il y a travaillé avec Nordine pendant de nombreuses heures, qu’il a envoyé les courriers à Radouane en janvier-février. Il attendait l’accord du CA pour envoyer toutes les plaintes, mais il n’a jamais reçu de réponse. (voir par rapport à ça le témoignage accablant de Nordine Saïdi, membre du CA, sur http://parlemento.wordpress.com/). Mahiedine me transmet les différents courriers et emails rédigés en janvier-février et les rappels envoyés à Radouane et au CA par après.

Le 8 octobre, j’assiste à la réunion du Conseil d’Administration. Nordine demande à Radouane où en sont les plaintes pour Schumann. Radouane répond « Mahiedine n’a rien fait, ce sera la première tâche du nouveau juriste ». Je suis évidemment effarée de ce mensonge qui se fait sans ciller.

C’est cet événement qui m’a ouvert les yeux sur la manipulation et les mensonges faciles émanant de tous les membres du Conseil d’Administration. D’autres incidents ne font que confirmer ce sentiment. Les insultes de Radouane à l’encontre de Didier (« sale connard »), le désintérêt complet par rapport à mon travail, le désintérêt pour des plaintes importantes (l’affaire Adecco [1], les violences policières, …), l’engagement controversé du nouveau juriste, le refus de m’accorder une formation, …

A l’AG du 1er décembre, je n’arrive pas à me taire car cette situation réveille en moi un sentiment de révolte. Je sais que je risque gros. Mais pour moi, la liberté d’expression, la justice et la vérité sont des valeurs plus importantes qu’un contrat de travail. Sans beaucoup d’étonnement mais avec beaucoup de tristesse, je reçois cette semaine ce recommandé avec mon licenciement.

Sans parler de ce qui arrive à mes collègues, ni de la gestion et communication en général, qui sont catastrophiques. Cela est au mieux la conséquence d’une claire incompétence de la part des membres du Bureau à gérer une asbl, au pire le reflet d’intérêts personnels manipulateurs déconnectés de la réalité quotidienne du MRAX.

Triste pour le MRAX, triste pour le combat antiraciste, dont les permanents du MRAX sont les derniers véritables défendeurs.

Je souhaite beaucoup de courage à mes collègues.

Emilie Van Laer



[1] Dossier de discrimination important, où Adecco utilisait le code BBB – Blanc Bleu Belge – pour les annonces où ils ne cherchaient que des candidats « belgo-belges ».

Un ex-employé écrit à Hamel Puissant, secrétaire du MRAX

[Carlos Ramirez, un des plus anciens employés du MRAX, a pris sa pension il y a quelques mois. Il vit actuellement en Amérique du Sud.]

Hamel.

Je constate le rôle que tu joues maintenant au sein du Mrax, pas seulement dans ta confrontation avec les travailleurs (je sais très bien, que parfois, les travailleurs n’ont pas raison) mais le plus grave dans tout ça, c’est ton soutien á un sinistre personnage : Mr Radouane Bouhlal. Vraiment, tu es tombé bien bas. Plus bas impossible, c’est triste, surtout que pendant un certain temps tu t’étais déguisé en progressiste et moi j’ai cru en la sincérité de ton idéal communiste.

Radouane Bouhlal, les travailleurs ont découvert, il y a longtemps, qu’il est très proche de la fondation Hassan II. Hassan II répugnant personnage de l’histoire, tu dois le savoir, principal artifice de la marche verte qui a rendu possible l´annexion du Sahara occidental au Maroc, responsable d’une sanglante répression du peuple magrébin et au service des intérêts impérialistes en Afrique. En plus la Fondation Hassan II devait contrôler politiquement l’émigration magrébine.

Il a bien raison Mohamed Belmaïzi en s´adressant à Radouane Bouhlal: « tu défends l´Etat Marocain, qui est un Etat raciste contre les subsaharien, (en outre un Etat de non-droit) mais tu défends aussi le fascisme islamiste. Tu as tout détruit et aujourd´hui tu es ruiné. Tu n´as que ce tu mérites »

Toi-même tu as critiqué Radouane pour certaines de ses déclarations dans les médias. Le CA aurait dû à ce moment l’avoir mis à la porte.

Hamel, c’est regrettable que tu sois complice, en appuyant Radouane, de la fin du Mrax. Pire encore : avoir cosigné le licenciement de Didier.

Je ne sais pas ce tu que vas gagner, je pense de même pour Elizabeth, avec la fin du Mrax. Belle façon de passer dans l'histoire.

Ici en Amérique Latine de nombreux personnages (dictateurs) ont eu leur moment de gloire, aujourd´hui la plupart sont tombes dans la « poubelle » de l'histoire,

D´autres sont en prison. Personne ne va aller en prison, il ne faut pas exagérer, mais ce qui est sûr que tes ex camarades trotskistes vont te signaler comme un traître.

Bien à toi

Carlos Ramírez

Résumé des épisodes précédents

On peut aimer ou pas Bouhlal, jamais le Mrax n'a autant fait parler de lui. Quelques articles édifiants valent mieux qu'un long résumé.

Pour la suite: google. Plusieurs jours de lecture...

mercredi, décembre 23, 2009

Plus raciste que le Mrax, tu meurs !

Et pendant ce temps, du côté de l'ultra-droite, on sort le champagne... Merci qui?


lundi, novembre 30, 2009

Le système Bouhlal

Un rapport sur "les problèmes de gouvernance au MRAX", rédigé par l'ancienne direction licenciée, révèle le système mis en place par Radouane Bouhlal pour noyauter toute une organisation de travail et la mettre sous son contrôle personnel.
Ce texte, écrit très sobrement à première vue, démontre en réalité comment le président du MRAX a fini par paralyser toute l'organisation de travail pour la mettre à sa botte.

Rapport_Gouvernance_MRAX.pdf

Peut-on encore sauver le Mrax ?

Carte blanche (Le Soir Lundi 30 novembre 2009)

Les signataires sont membres du Mrax et y sont ou y ont été actifs (1)


Le Mrax (Mouvement contre le Racisme, l’Antisémitisme et la Xénophobie) vit une crise sans précédent. Cette association, vieille de plus de soixante ans, qui fut le pilier de la lutte antiraciste en Belgique, a perdu sa légitimité aux yeux d’une part grandissante de la société civile. Manque d’éthique, déclin du pluralisme, dérive communautaire et gestion antidémocratique du mouvement résument les principales critiques qui lui sont adressées aujourd’hui. Certains annoncent déjà la fin de cette association en raison de son caractère jugé néfaste ou inutile, tandis que d’autres – dont nous sommes – soulignent l’importance de préserver un mouvement antiraciste fort, pluraliste et indépendant face la réalité du racisme et des discriminations en Belgique. Toutefois, pour vouloir sauver le Mrax, encore faudrait-il que ce dernier ne se dérobe pas face aux accusations dont il fait l’objet à tort ou à raison. Car si certaines attaques portées par quelques trublions de la politique sont clairement infondées, d’autres méritent toute notre attention.

– Manque d’éthique et inadéquation avec les valeurs de l’antiracisme
Un mouvement antiraciste fort et légitime se doit d’être irréprochable sur le plan éthique. Son mode de fonctionnement interne doit pouvoir refléter les valeurs qu’il prétend défendre et ne peut donc être considéré comme une affaire de seconde importance, qui ne regarderait que ses membres et son personnel. Pour pouvoir garantir publiquement son indépendance, sa force et sa légitimité, le mouvement antiraciste doit donc fonctionner de manière totalement transparente et ne pas réserver ses valeurs démocratiques à sa seule communication externe. Car, quel crédit peut-on encore accorder à une association qui, sous le feu des médias, condamne notamment les discriminations à l’embauche, alors qu’en interne les syndicats témoignent d’une iniquité dans le recrutement du personnel et dénoncent des pratiques de harcèlement moral ? De même, que penser de la sincérité des décisions de son conseil d’administration qui, alors qu’il est alerté en interne depuis de longs mois que l’un des leurs aurait diffusé des documents considérés antisémites, attend de subir des pressions externes avant d’agir ?

– Déni de démocratie interne
Un mouvement antiraciste fort et légitime, se doit d’être un modèle de démocratie. Et pour un antiraciste, la démocratie doit toujours veiller à rassembler. Elle ne peut donc être conçue comme une dictature de la majorité sur ses minorités. Ni d’une minorité sur les autres. Pourtant, depuis l’élection de Radouane Bouhlal à la présidence de l’association en 2004, quand débuta la crise actuelle, de nombreux membres et travailleurs n’ont cessé de dénoncer un manque de transparence, de concertation et de dialogue avec toutes les composantes et sensibilités de l’Assemblée générale. Face à cette incapacité manifeste à rassembler autant ses membres que les travailleurs, celles et ceux qui ne partageaient pas les vues du sommet ont peu à peu été éliminés ou ont fini par se lasser des conflits et ont démissionné. Parallèlement, on imposa (contre l’avis de son directeur) une gestion de plus en plus autoritaire du personnel en refusant tout esprit de concertation dans les prises de décision et en s’obstinant à vouloir exclure également les travailleurs de l’Assemblée générale afin de les empêcher de participer aux débats d’orientation. Comme si cela ne suffisait pas, on a poursuivi cette entreprise de sape de la démocratie interne du Mouvement, en recrutant à tour de bras de nouveaux membres dans l’entourage proche du président en vue d’assurer sa réélection. Dans une association largement fondée sur l’engagement militant, un tel mode de fonctionnement ne permet nullement de refléter et d’enrichir les passionnants débats animant le milieu de l’antiracisme, et ne peut que nuire aux motivations et à l’efficacité de ses membres et de ses travailleurs.

– Instrumentalisation de l’antiracisme et déclin du pluralisme
Un mouvement antiraciste fort et légitime, se doit d’être ouvert et pluraliste. Or la diversité interne du Mrax est clairement menacée. Son conseil d’administration clame aujourd’hui qu’il est (devenu) un mouvement qui rassemblerait toutes les victimes de discrimination en vue de les défendre. En réalité, il n’y a que quelques victimes seulement qui s’y font entendre, en particulier celles qui sont les mieux représentées au sein de l’association, et qui orientent les actions et positions du Mouvement. De ce fait, une approche syndicale de l’antiracisme conduit le Mrax à négliger d’autres formes de racisme et de discrimination, à commencer par celles qui touchent les publics les plus fragilisés, dont les sans-papiers ou les gens du voyage. Loin de nous l’idée de remettre ici en cause la légitimité de certaines orientations du Mrax qui font parfois écho à des revendications communautaires spécifiques, comme le droit à porter ou ne pas porter un insigne religieux à l’école par exemple.Mais si le mouvement antiraciste peut juger nécessaire d’accompagner l’une ou l’autre minorité en vue de s’assurer qu’elle bénéficie d’un traitement équitable (en défendant le principe des accommodements raisonnables par exemple), son rôle n’est pas de se substituer à ces mêmes minorités. Non seulement cette approche ne peut ni éviter l’exacerbation du sentiment victimaire, ni l’instrumentalisation de l’antiracisme par des intérêts particuliers. Mais surtout, cela amène finalement le Mrax à délaisser l’objectif primordial de l’antiracisme, qui est de rechercher à rassembler et à contribuer positivement au mieux vivre ensemble dans une société multiculturelle.

– Peut-on encore sauver le Mrax ?
Ce mardi 1er décembre, une Assemblée générale extraordinaire a été convoquée à l’initiative de quelques membres favorables à l’actuel Conseil d’administration et à son président Radouane Bouhlal. Il y sera question de maintenir ou non à la tête du Mouvement le président et les quelques administrateurs qui n’ont pas démissionné. S’ils obtiennent la confiance de l’Assemblée, tout indique que le mode de gouvernance qu’ils ont adopté et que nous jugeons néfaste, sera maintenu. Le Mrax s’enfoncera plus encore dans la tourmente et perdra le peu de légitimité qui lui reste à l’extérieur.
Si, au contraire, une majorité de membres refusent, comme nous, de les soutenir davantage, un long travail de reconstruction, associant toutes les composantes du Mrax, pourra alors être entamé en vue de rétablir une vision positive, pluraliste et fédératrice de l’antiracisme. Gageons que l’unité l’emportera sur l’éclatement.

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(1) Tous les signataires de la présente Carte blanche sont ou ont été des militants actifs au Mrax :
Abderrahmane Cherradi (ancien vice-président et ancien secrétaire général), Didier de Laveleye (ancien directeur), Thérèse Frankfort (membre), Pablo Isla Villar (membre), Jean-Marie Leconte (ancien trésorier et ancien coordinateur), Léon Liebmann (membre), Luc Malghem (ancien webmaster), Nicole Mayer (ancienne administratrice et ancienne administratrice déléguée), Bayna Mohcine (ancien juriste), Marco Paulsen (ancien animateur), Carlos Ramírez (ancien animateur), Erdem Resne (ancien attaché de presse), Michel Staszewski (ancien administrateur), Marie-Marth Van Keirsbilck (ancienne directrice adjointe), Boris Wastiau (membre).
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L’Assemblée générale extraordinaire du MRAX se tiendra ce mardi 1/12/2009, de 18h30 à 21h30, au 29 rue Blanche, 1060 Bruxelles. Toute personne se mettant en ordre de cotisation a le droit d’y assister.

jeudi, octobre 22, 2009

Les employés du MRAX lancent un appel à l'aide...

Les employés du MRAX lancent un appel à l'aide... voici leur communiqué de ce 22 octobre 2009:
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Communiqué de presse

AU SECOURS ! :
Despotisme, autocratie, zone de non droits... Voilà ce qu’est devenu le MRAX !


Le MRAX, Mouvement contre le Racisme, l’Antisémitisme et la Xénophobe, plus généralement, organisme de défense des droits humains, n’est-il pas en parfaite contradiction avec ses propres valeurs fondatrices ?
Dès l’accession de Radouane Bouhlal à la présidence (2004) le MRAX a connu, pour la première fois de son existence (60 ans), une série de grèves pour protester notamment contre la gestion abusive des ressources humaines (licenciement abusif, menace, pression, harcèlement moral…) et la volonté du président de faire des travailleurs de simples marionnettes.
Depuis plusieurs mois, la situation ne cesse de se détériorer, plusieurs activités cruciales sont menacées, la question de la survie financière de l’asbl est clairement posée et les travailleurs s’insurgent contre la dérive autoritaire et autocratique que subit actuellement le MRAX. C’est pourquoi, ils ont décidé, en front commun syndical CNE/SETCa, de porter le débat sur la place publique en observant un arrêt de travail ce vendredi 23 octobre 2009 à 11h afin d’alerter toutes les forces progressistes de la société et de réclamer une Assemblée générale extraordinaire –ouverte également aux anciens membres qui sont partis découragés, voire dégoûtés. Nous réclamons la mise à plat des graves problèmes de gestion qui mettent en péril notre emploi et l’avenir même de l’association.

Nous dénoncerons :
1. Non respect des sans-papiers
2. Un harcèlement moral généralisé
3. L’ingérence, le non respect des procédures et un fonctionnement antidémocratique
4. le népotisme
5. un climat interne désastreux
6. les démissions et licenciements en cascade
7. l’hyperpersonnalisation de la communication externe
8. une gestion approximative et un risque financier majeur

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Front commun syndical CNE SETCa
Représentant les travailleurs affiliés du MRAX

samedi, octobre 10, 2009

L'antiracisme en crise

Un article édifiant, paru dans la revue "Regards" du CCLJ:

L’antiracisme en crise
Le Mouvement contre le racisme, l’antisémitisme et la xénophobie (MRAX) est confronté à une crise identitaire depuis quelques années. Comment concilier la vision universaliste des intellectuels progressistes et les aspirations identitaires des jeunes issus de l’immigration ? Tel est le problème que le très controversé Président du MRAX ne parvient pas résoudre.

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samedi, septembre 05, 2009

C'est toujours la crise au MRAX

Après la plainte du directeur contre son président Bouhlal pour harcèlement moral, après les démissions en cascade d'administrateurs, le remplacement de deux juristes, puis du gestionnaire administratif et financier,... on apprend que le directeur lui-même quitte le bateau. Tous ses gens auraient-ils enfin compris ? Le seul qui semble indéboulonnable, qui a réussi à éliminer celles et ceux qui refusent de le vénérer, c'est Bouhlal, le président.
Peut-être que, comme un parasite qui ronge sa victime de l'intérieur, la lente mise à mort de celle-ci annonce aussi le départ de son bourreau ?
A suivre.

samedi, juillet 04, 2009

Un Bloggeur bien informé

La valse des démissions et des licenciements continue. Suite notamment au licenciement du directeur (dans la discrétion la plus assourdissante), trois administrateurs claquent la porte. Exit France Blanmaillant, Michel Staszewski et François Desmet. Sur la démission de France Blanmaillant, lire le compte-rendu de Khalil Zeguendi, Bien joué Radouane Bouhlal, et surtout l'hilarante réponse d'Hamel Puissant, membre du bureau du Mrax: Ejectez Radouane Bouhlal: c'est de salut public...