Après la plainte du directeur contre son président Bouhlal pour harcèlement moral, après les démissions en cascade d'administrateurs, le remplacement de deux juristes, puis du gestionnaire administratif et financier,... on apprend que le directeur lui-même quitte le bateau. Tous ses gens auraient-ils enfin compris ? Le seul qui semble indéboulonnable, qui a réussi à éliminer celles et ceux qui refusent de le vénérer, c'est Bouhlal, le président.
Peut-être que, comme un parasite qui ronge sa victime de l'intérieur, la lente mise à mort de celle-ci annonce aussi le départ de son bourreau ?
A suivre.